Page:Fenelon - Aventures de Telemaque suivies du recueil des fables, Didot, 1841.djvu/390

Cette page a été validée par deux contributeurs.
373
LIVRE xv.

ment où elle n’est déjà plus ; elle tombe de son propre poids, et rien ne peut la relever, parce qu’elle a détruit de ses propres mains les vrais soutiens de la bonne foi et de la justice, qui attirent l’amour et la confiance.

Séparateur