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LE « TELEMARK » ET LE « CHRISTIANIA »
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franchement en avant et déversent faiblement mais avec rigidité le ski avant jusqu’à ce qu’il soit arrivé en travers de la pente après avoir décrit une courbe de grand rayon. Le ski inférieur a alors sa pointe légèrement séparée de celle du ski supérieur et les talons se croisent facilement, ce qui rend le Christiania plus difficile et occasionne les chutes. D’autres déversent seulement le ski inférieur et virent au moyen d’un arc court, serré, presque semblable à un Telemark, pendant que le ski supérieur remue à peine la neige et se retrouve placé parallèlement à l’autre, après l’arrêt obtenu par une sorte de chasse-neige. D’autres encore déversent les deux skis, les inclinent en ployant seulement les genoux légèrement, tournent tout le corps un peu en arrière et vers l’intérieur et arrivent à virer sans aucun effort visible. C’est la seule méthode avec laquelle le Christiania paraisse presque élégant.


ARRÊT DE CHRISTIANIA À DROITE.

La neige tassée est la préférable. Si c’est à elle qu’on a affaire, les principales règles à observer dans tous les cas sont à peu près les suivantes :

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