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Et les sanglots soulèveront
Ce sein maintenant si paisible,
Et de la douleur inflexible
La main sillonnera ton front.
Oh ! ne crains pas que je t’éveille :
Sans rêve encor longtemps sommeille ;
Repose en paix auprès de moi.
Ta joie est dans ton ignorance,
Ignore jusqu’à l’espérance,
Et souris sans savoir pourquoi.