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IV.

la poésie des pauvres gens.


Ces terribles gasconnades, cousines germaines des aventures merveilleuses du Baron de Munchausen, et que je rapporte textuellement, telles qu’on les conta ce soir-là, auraient duré toute la nuit ; car Bidou, ne se tenant pas pour battu, nous menaçait d’un crescendo de verve.

Il avait même débuté en disant à Jean Bart d’un ton narquois :