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II.

marie la couturière.


Le secret de tout ceci était bien simple pourtant.

Si le dimanche qui suivit la fête au Bois, les farauds du Château-Richer et de Saint-Féréol, tout en pomponnant leurs chevaux et faisant leur tour de voiture, s’étaient adonnés à passer devant la porte de la modeste maison du père Couture, sise au pied