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À MES LECTEURS.

Vous n’avez pas augmenté en nombre ! Deux cent quinze vous étiez, quand je commençai ce volume, deux cent quinze vous retrouvé-je en ce moment où je le termine.

Ainsi, je vais de tome en tome accroissant entre mes mains les exemplaires de cette bibliothèque invendable ; il me faut un vaste local pour les conserver tous ; il me faudrait vingt-cinq ou trente années d’existence pour en voir le complet écoulement. Ma brillante santé, il est vrai, me permet d’espérer que j’achèverai cette longue traduction, mais, rien au-delà ; et, quand ma débile main aura mis d’une manière absolue au bas de cet immense ouvrage le mot FIN, commenceront ces nouvelles destinées, que Dieu ouvre à mon âme sous un autre mode de l’existence.

Permettez-moi d’appeler vos sympathies, votre