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d’envisager la chose appartient donc à une rédaction différente : le reste est tombé dans l’oubli ; il faut y jeter aussi ce commencement inutile, et le sacrifier à la pureté du poète réhabilité. Aussi dans ce travail d’expurgation, que nous avons promis, s’il plaît à Dieu ! d’opérer sur le Mahâ-Bhârata, nous proposons-nous de terminer le Vana-Parva à la page 91e, après les saintes promesses données à ceux, qui liront la poétique légende d’Yama, et, sans attacher aucun regret aux pages avortées, qui closent le chapitre, d’ouvrir au même instant et de commencer immédiatement le Chant de Virâta.

Juilly, 15 avril 1866.