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LE RAPT DE DRAÂUPADÎ.

Djanamédjaya dit :

« Tandis que ces magnanimes fils de Pândou habitaient dans ces bais, où ils se récréaient aux différentes narrations des anachorètes, et qu’ils nourrissaient, avec les diverses viandes des gazelles de la forêt, les brahmes, que le besoin de nourriture avaient conduits vers eux (mais Krishnâ avait le soin de la nourriture immortelle, donnée par le soleil), comment se conduisirent alors, grand anachorète, tous ces Dhritarâshtrides à l’âme perverse, Douryodhana et les autres, ces artisans d’iniquités, qui suivaient le sentiment de Douççâsana, de Karna et de Çakouni.

» Dis-moi cela, révérend Vaîçampâyana, à moi, qui te le demande. »

Vaîçampâyana lui répondit :

Quand il eut appris leur manière de vivre dans ce bois, comme s’ils habitaient au sein d’une ville, 15,492-15,493-15, 494-15,495-15,496.