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ERRATUM.




Dans la page 271, il a été oublié une note ; la voici :

« Supprimez dans la lecture, par la pensée, les stances 2276, 2277, 2278, 2279, 2280, et supprimez les mots de rechef dans la stance 2281. Ces versets nous semblent venir d’une autre rédaction, n’entrer ici que mutilés et n’offrir par conséquent à l’esprit qu’une chose vague, obscure, indéterminée, incomplète.

Je voudrais aussi retrancher les stances 3025, 3026 et 3027, où il s’agit, pour la seconde fois, du mutuel don de la science des dés et de la science des chevaux ; mais cet échange n’est plus à faire ; il a déjà été fait en venant au pays de Koundina, et ce fut un des épisodes du voyage. Ces stances n’appartiennent donc pas à notre conception du sujet, mais à une rédaction différente. »

Lisez :

Page 36, stance 23 : au temps où les fleurs lui prêtaient une habitation.
49, 138 : sorti de la terre.
74, 368 : couraient ici
106, 672 : envoya lui-même à Çâmbha.
123, 851 : il avait disparu.
139, 992 : sans qu’il en éprouve du regret.
204, 1624 : supplia ainsi Hara.
247, dans la note : au verbe naç.
267, 2235 : comme Yayâti, fils de Nahousha.
311, 2681 et 2686 : le cher ami de tes frères.
323, ligne 3e : les qualités ajoutez : du corps.
387, 7075 : ayant la Drishadvati au septentrion et la Sarasvati au midi.
407, 8172 : qui, d'une naissance dégradée.