la tradition, ou de qui les corps ne se sont pas baignés dans plusieurs tîrthas, ou qui sont restés en dehors de l’aumône et des cérémonies. 1760.
Les coudras, destructeurs des sacrifices, ne peuvent le voir, ni les insensés, qui mangent de la chair, qui boivent des liqueurs enivrantes, ou qui ont souillé la couche de leur gourou. 1761.
Admirant ces divins bocages, qui retentissaient de chants célestes, le guerrier aux longs bras entra dans la ville chère à Çakra. 1762.
Il vit par milliers rassemblés des chars célestes, qui allaient suivant la volonté, et vers lesquels on se rendait par dizaines de mille. 1763.
Le fils de Pândou s’avançait, loué par les Gandharvas et les Apsaras, éventé par le souffle pur des vents, qui voituraient le parfum des fleurs. 1764.
Les rishis du plus haut rang, les Siddhas, les Gandharvas et les Dieux célébraient d’une âme joyeuse le fils de Prithâ aux œuvres infatigables. 1765.
Comblé de bénédictions, le guerrier aux longs bras s’avançait au son de célestes instruments de musique, paria grande voie des constellations, nommée la Souravîthi, retentissante de conques et de tambours. Ses louanges, à l’ordre d’Indra, étaient répétées de tous les côtés dans sa marche. 1766-1767.
Alors les Sâdhyas et les Viçvas, les Maroutes et les deux Açvins, les Adityas, les Vasous, les Roudras et les purs Brahmarsis, 1768.
Les Râdjarsis en grand nombre et les rois, en tête desquels marchaient Diltpa, Toumbourou, Nârada et les deux Gandharvas Hâhâ et Hoûhoû : 1769.