languit ; telle, dans un combat d’éléphants, une fois pris l’éléphant conducteur. 978.
» L’œil incomparable du brahme et la force nompareille du kshatrya : le monde prospère, quand ces deux choses marchent réunies. 979.
» Le kshatrya, secondé par le brahme, consume l’ennemi, comme un vaste feu, aidé par le vent, brûle une forêt. 980.
» Que le prince intelligent poursuive chez les brahmes la recherche de la pensée pour le gain de celui, qui n’a pas, et l’accroissement de celui, qui possède. 981.
» Accueille sous ton hospitalité, pour le gain de l’homme, qui n’a pas, l’accroissement de celui, qui possède, et la célébration des sacrifices, suivant leur mérite, un brahme illustre, docte, qui a beaucoup écouté et qui sait les Védas. 982.
» Observe toujours avec les brahmes, Youddhishthira, une conduite des plus nobles ; c’est par là qu’une brillante renommée resplendit au milieu de tous les mondes. »
Après ce discours, tous les brahmes d’honorer Vaka, fils de Dalmi, et, voyant louer de nouveau Youddhishthira, ils en eurent l’âme satisfaite. 983-984.
Dwalpayana, Nârada, le Djamadagnide, Prithouçravas, Indradyoumna, Bhâlouki, Kritatchétas et Sahasrapad,
Kamaçravas, Moundjaet Lavanàçva, le Kaçyapide, Harlta, Sthoûlakarna, Agnivéçya et Çaâunaka, 985-986.
Kritavâk et Souvâk, Vrihadaçva, Vibhâvasou, Oûrddwarétas, Vrishâmitra, Souhotra et Hotravâhana ; 987.
Ces brahmes et d’autres en grand nombre honorèrent Adjàtaçatrou, comme les rishis honorent Pourandara.
Ensuite, étant venus dans le bois au temps du soir, les