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ci fut tué, la même protection, dont il environne son frère puiné ; 375.

Et le trône vacant, qu’il donne à Vitchitravîrya ; et la naissance d’Yama dans la condition humaine, suite de la malédiction jetée sur lui par Animândavya ; 376.

Les enfants nés de Krishna-Dwaîpâyana, grâce à une faveur obtenue ; la naissance de Dhritarâshtra, de Pândou et des Pândouides ; 377.

La délibération secrète de Douryodhana pendant le voyage à Vâranâvata, et l’envoi d’un traître devant les Pândouides par ce fils de Dhritarâshtra ; 378.

Le bon avis, que Vidoura, chemin faisant, donne en langue barbare au sage Dharmarâdja pour son bien ; 379.

Et la construction d’une voie souterraine, ménagée pour la fuite, suivant les paroles de Vidoura. On raconte à Dhritarâshtra que Pourotchana fut brûlé dans la maison de laque avec la femme Nishadî endormie et ses fils. Hidimbâ se présente dans le bois épouvantable aux yeux des Pândouides. 380-381.

Ici, vient la mort de son frère Hidimba sous la force invincible de Bhîma : puis, on dit la naissance de Ghatotkatçha.

Maintenant, il vous faut apprendre l’apparition de Vyâsa, le maharshi à la splendeur infinie, dans Ékatchakrâ et dans l’habitation du brahmane. 382-383.

Là, on raconte le séjour des frères sous des professions, qui les déguisent, l’étonnement des citadins sur la mort de Vaka, 384.

La naissance de Krishnâ et de Drishtadyoumna. Excités par les discours de Vyâsa, qui tient ces nouvelles du brahme, les Pândouides alors, pleins de curiosité, brûlants de voir le swayamvara et stimulés par l’envie d’obtenir la jeune princesse, vont chez les Pântchâlains. 385.