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complètement leur immortelle postérité aux nombreuses qualités. 2547.

Târkshya et Arishtanémi, ou Garouda et Arouna, qu’on appelle aussi Arouni et Vârouni sont dits les fils de Vinatâ. 2548.

Kadroû enfanta, dit-on, Çésha, Ananta et Vâsouki, le serpent Takshaka, Koûrma et koulika. 2549.

Bhîmaséna, Ougraséna, Souparna et Varouna, Gopati, Dhritarâshtra et Soûryavartchas, le septième, 2550.

Satyavâtch, Arkaparna et le fameux Prayouta, Bhîma, Tchitraratha, qu’on appelle le savant en toute science, le sage, qui a dompté ses passions, 2551.

Çaliçiras et Pardjanya, qui est le quatorzième, Kali le quinzième et Nàrada le seizième ; voilà, sire, les divins Gandharvas, qu’on dit être nés de Mouni. 2552.

Je vais exposer d’autres généalogies en grand nombre, petit-fils de Bharata. Pradhâ fut la mère de Anavadyâ, Manou, Vançâ, Asourâ, Mârganapriyâ, Anoûpa, Soubhagâ et Bhàsî. Elle eut pour fils Siddha et Poùrna, Vahi et Poûrnâyoush à la vaste renommée, 2553-2554.

Brahmatcharl, Ratigouna et le bien vertueux Souparna, Viçvâvasou, Bhânou et Soutchandra, qui est le dixième. Ce sont là ses fils, les musiciens des Dieux. Jadis Pradhâ conçut encore d’un saint anachorète ces Apsaras, famille célèbre et qui porte le sceau de la pureté : Alamboushâ, Miçrakéçî, Vidyoutparnâ, Tilauttaraâ, 2555-2556-2567.

Arounâ, Rakshità et la séduisante Rambhâ, Kéçinî, Soubàhou, Souratâ, Souradjâ, 2558.

Et Soupriyâ, Atibâhou, les deux illustres Hâhâ et Hoùhoù avec Toumbourou ; ces quatre sont les plus habiles musiciens des Gandharvas. 2559.