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la tête de mort.

devenoit de jour en jour meilleure et plus décente. On s’en réjouissoit d’autant plus, que le nouvel hôtelier, qui avoit resté long-temps au service de la famille, vantoit les suites heureuses de ses améliorations, et se plaisoit dans son nouvel état, qui lui promettoit pour lui, sa femme et sa famille, un avenir heureux. Auparavant, quoique la route fût très-fréquentée, personne ne se hasardoit à passer la nuit dans cette auberge, chaque jour actuellement y voyoit entrer des voyageurs. Des voitures constamment arrêtées dans la cour et devant la maison, et l’air généralement satisfait des personnes qui se remettoient en route, prouvoient d’une manière incontestable à l’hôtelier, toujours le bonnet à la main près de la portière des équipages à leur départ, que ses efforts pour contenter les voyageurs avoient complètement réussi.