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les portraits de famille.

« Cela ne me paroît pas bien nécessaire, » dit un jeune homme ; « cette histoire, de même que celle qui l’a précédée, est réellement finie, et donne toute la satisfaction que doit procurer un récit de ce genre. »

« Je ne partagerois pas votre opinion, » répondit Ferdinand, « si j’étois en état d’expliquer la connexion mystérieuse du portrait avec la mort des deux enfans, arrivée pendant la nuit, ou des terreurs de Julienne à la vue de l’autre portrait, avec sa mort, dont il fut la cause. Je ne vous suis pas moins obligé de la satisfaction que vous témoignez. » « Mais, » répartit le jeune homme, « qu’y gagneroit votre imagination, si la connexion dont vous parlez vous étoit connue ? »