Page:Falconnet - Petits poèmes grecs, Desrez, 1838.djvu/124

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

C’était le milieu de la nuit, la lune étincelait dans les cieux.....

Cependant, le vaillant fils d’Achille conduit dans ses vaisseaux l’épouse d’Hector ; il arrache le jeune enfant du sein de sa nourrice ; il le prend par le pied et le précipite du sommet de la tour : dans sa chute, la mort et l’impitoyable destinée s’emparent de lui. Puis, le héros enlève Andromaque, l’auguste épouse d’Hector, prix glorieux que dans le partage des dépouilles les chefs grecs accordèrent au fils d’Achille. Enfin ce héros fit monter dans son navire l’illustre rejeton d’Anchise, Énée, qui de tous les enfans de Danaüs était pour le vainqueur la plus grande récompense.

VI.

FRAGMENT D’UN POÈME INTITULÉ LES RETOURS.

Aussitôt elle change Éson en un jeune homme aimable à la fleur de l’âge ; et par ses secrets merveilleux elle le dépouille de sa vieillesse en faisant bouillir un grand nombre de plantes dans des bassins d’or.

VII.

FRAGMENT DES CERCOPES.

Les Cercopes étaient fourbes et menteurs.

VIII.

FRAGMENS DE POÈMES INCONNUS.

Lorsqu’arriva le printemps chéri des bœufs aux cornes recourbées.....

Le bruit s’en répandit dans l’armée.....

Car la mort est à moi.....

Ils allumèrent le tison. Le grand Vulcain se leva.....

Un trépied aux anses d’or me sera donné.....

En lui arrachant la vie avec le fer.....

Il coupe avec l’airain cruel.....

En aboyant avec un bruit terrible.....

La lance en sifflant.....

La course des chevaux aux pieds rapides comme le vent.....