« … Et parfois il faisait mettre une femme nue,
« Et puis la regardait, disant : Au ciel la nue,
« Sur terre la beauté… »
Cela ! la plus pure des humaines voluptés, — ayant enfin les glaces de l’âge affraîchi les chaleurs humaines — les temps civilisés, à ce sage, à ce saint, jetteront une risée méprisante : — Vieux débauché !
L’utilité nous tyrannise.
Le vrai luxurieux voudra des filles fort jeunes : qui sont vicieuses — ou des femmes mûres : qui sont savantes.
Satyres. — Quoi de plus infamant : se satisfaire sur un jeune garçon, enceintrer une jeune fille ?
Gueux un peu plus que ne sied même à un poète, je regrette parfois telle ou telle prodigalité feue, mais j’en jure par toi, saint Vital, celles par les filles galantes, soutirées : jamais.
— Savez-vous rien, prononce Madame Trou, de plus dégoûtant que le saphis-