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Pour le souffle frais que jette la brise
Dans le verger mûr rempli de chansons.

Mais que rien ne vaut, ô main douce et fine
Qui t’abandonnais en tremblant un peu,
L’enivrant parfum, la fraîcheur divine
De ta blanche peau sous ma lèvre en feu.

Février 1880.