terminer le problème du champ ondulatoire de l’éther tel que peut l’utiliser un ingénieur de T. S. F. par exemple ; avec ses récepteurs d’ondes, il peut parvenir à reconnaître dans un signal amorti l’action remarquable de la différence de vitesse des ondes et de l’énergie () qui se déduit de la réunion des deux lois I et II du champ .
(méridienne de l’ellipsoïde d’onde, de foyer lié au centre de radiation).
avec N fréquence dans ; fréquence dans où , longueur d’onde dans , devient et où V devient isotrope et égale à C.
On trouve, au second ordre près, désignant la vitesse radiale de la source, c’est-à-dire .
Or une méthode simple consiste à explorer le champ d’une antenne amortie, pour y trouver deux zones de silence symétriques par rapport à la région de l’antenne.
Le récepteur redresseur d’ondes refuse de recevoir le signal à la demi-distance de ce que je propose