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Puis, des murs tapissés de ronces et de treilles,
Des carrés tout remplis de fèves et de pois,
Dont les fleurs à ta joue, ô chère ! sont pareilles.

Là, nous apporterions un livre quelquefois,
Je lirais mon Virgile au bruit de nos abeilles,
Et tu t’endormirais doucement à ma voix.