Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
Et pourvu qu’en mai ta couvée essaime,
Vaillante, emplissant de son gai concert
Le vallon étroit où jadis moi-même
J’eus mon nid bien chaud — maintenant désert !
Et pourvu qu’en mai ta couvée essaime,
Vaillante, emplissant de son gai concert
Le vallon étroit où jadis moi-même
J’eus mon nid bien chaud — maintenant désert !