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Nous vivrions près d’eux consolés et bénis,
J’y retournerai seul désormais, pour une heure,
— Aux jours las et voilés de l’arrière-saison,
Furtif, quand le soleil décline à l’horizon.
Que la feuille jaunit au bois où l’autan pleure,
Pleurer ma maisonnée, hélas ! et ma maison !