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— Elle n’en démord pas, reprit M. Constant, elle dit à qui veut l’entendre : « Je suis Mlle Valentine d’Arx ! » Elle se bat contre des fantômes, les accusant d’avoir tué non seulement son prétendu frère, mais encore son père, le vieux Mathieu d’Arx, qui mourut à Toulouse, on ne sait comment, voilà déjà bien des années.

— Ah ! fit la veuve, on ne sait comment il mourut ?