Page:Féval - Maman Léo, 1869.djvu/422

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Je réunissais tous ceux qui avaient vu de trop près nos affaires, dans un seul tas et je leur chantais : « Allez-vous-en, gens de la noce ! » avec Coyatier au piano. Mais j’ai eu vent de vos petites menées, et mon dénouement a tourné… Ouvre la fenêtre,