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Là, les défaillances d’appétit ne sont pas connues ; on a gagné rudement le plaisir de manger, et l’odorat des convives n’a point ces gênantes délicatesses qui pourraient s’offenser de certains parfums répandus trop abondamment dans l’atmosphère.

L’ail et l’oignon ne déplaisent à personne, l’échalote et le beurre noir ne comptent que des amis.

Il fait chaud, et cela semble bon, quand le froid humide sévit au dehors.