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Le colonel s’approcha de moi et me dit :

— Germain, vous savez qu’il y avait entre mon malheureux ami et moi autre chose que de l’affection. Nous poursuivions en commun l’accomplissement d’une tâche qui a occupé son existence tout entière.

C’était vrai, je le savais ou du moins M. Remy m’avait donné à entendre que le colonel Bozzo avait sa plus intime confiance, et qu’en cas de malheur, car M. d’Arx avait la pensée d’un malheur, c’était au co-