Page:Féval - Maman Léo, 1869.djvu/230

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

L’adolescent ajouta en soutenant le regard curieux du cabaretier :

— Et j’ai bien peur d’être obligé d’y rentrer.

— À l’hôpital ? fit Lheureux. Pour ma part, je n’y ai jamais fréquenté. Les bons vivants comme moi ne vont à l’Hôtel-Dieu que pour leur dernier coup de sang. Voilà des vrais tempéraments ! Buvez votre vin pendant qu’il est chaud, mon petit, et faites votre faction ; par le temps que nous