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D e Pontréan à Guichen, il y a une lieue de Bretagne, c’est-à-dire un myriamètre et davantage. Le paysage est beau tout le long de la route : à droite, dans la direction de Maure, s’étendent, à perte de vue, d’immenses forêts d’ajoncs que parsèment de vastes clairières, où le sol, rocheux et complètement brûlé, ne peut pas même nourrir la