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au bout de l’obscur passage, partir comme un trait et disparaître au haut du casse-cou.

Les policemen s’arrêtèrent — Ils entendirent le sabot du cheval heurter les premières marches de l’escalier. — Puis ce fut un bruit sourd, le roulement d’un corps lancé avec violence sur une rampe âpre. — Puis enfin, ce fut un son étouffé, pesant, suivi d’un mortel silence.

Il courut un frisson d’horreur parmi les hommes de police.

Après un moment d’hésitation, ils détachèrent la lanterne de la cour et commencèrent à descendre l’escalier avec précaution. Dès les premières marches, ils rencontrèrent des