Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 11.djvu/334

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


— Le daddy ! prononça faiblement Loo ; — Dieu est bon de m’avoir donné la vue de mon père à cette heure… oh ! daddy ! je vous en prie… éteignez ce feu… ce feu que j’ai là-dedans !

— Buvez, ma sœur Loo, reprit l’intrépide Snail ; ce ne sera rien.

La petite fille secoua la tête et repoussa le verre de gin, à l’inexprimable étonnement de Tempérance, qui fit un geste involontaire pour s’en emparer. — Daddy, murmura Loo : — cela me fait grand bien de vous voir… Que faut-il dire à ma mère de votre part ?… Je vais vers ma