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leurs une seconde représentation avait l’heure du dîner.

Lorsqu’il fut parti, la comtesse essaya de diminuer l’impression produite sur Susannah par le récit qu’elle venait d’entendre, mais ce fut peine inutile. La belle fille, au lieu de prendre espoir, devenait de plus en plus triste.

— Il faut que je le cherche, Ophely, dit-elle enfin en se levant ; — je crois deviner qu’il est en ce moment la victime de quelque perfide machination. — Je savais cette téméraire équipée du château royal de Kew ; il me l’avait lui-même racontée… mais c’était pour moi, cette fleur, chère lady… est-on fou parce qu’on aime ?…