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de poils bruns qui ombrageait la lèvre du cavalier.

— Monsieur, dit-il, d’autant qu’il n’y a point ici beaucoup de choix, mis à l’écart don José, son compagnon et ce gentleman, ajouta-t-il en saluant le laird, — je vous remercie de ne m’avoir pas comparé à pire que Lovely.

Son regard moqueur, complétant sa pensée, glissa de Paulus à Randal et de Randal à Paulus.

Ce dernier fit un brusque mouvement de colère. — Randal avait les yeux fixés sur le laird.

— La paix ! murmura-t-il en serrant le