Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 09.djvu/87

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

aussi la partie trop belle que d’entamer la lutte sur ce terrain connu !… Vous êtes riche assez pour faire mentir l’évidence, et les rieurs passeraient peut-être du côté de Votre Seigneurie… Non ! non ! point d’accusations ! C’est triste et c’est commun. Le monde m’applaudit à condition que je mènerai ce duel à son dénouement sans grimacer ni perdre mon sang-froid… Je ne suis pas un avocat, milord comte, je suis un gladiateur.

White-Manor suivait avec tension et fatigue cet étrange discours dont le sens échappait pour une bonne part à son intelligence épaissie. Il attendait une conclusion, une attaque directe, et tâchait de se tenir prêt à la parade. Mais Brian laissait ses idées s’enchaî-