Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 09.djvu/170

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


— Eh ! monsieur ! s’écria-t-il, emporté par un irrésistible élan de colère, — vous pourrez adresser vos questions à Ismaïl Spencer lui-même, car vous ne serez pas long-temps sans le voir.

— Ces mots de Votre Seigneurie ressemblent à une menace, dit Brian, qui fixa sur le lord son regard perçant et investigateur.

— Une menace, monsieur ?… se récria White-Manor en quittant tout à coup son air irrité pour reprendre un masque de bonhomie soumise ; — vous savez bien qu’il y aurait, hélas ! folie de ma part à vous menacer… J’ai voulu dire purement et simplement ce que j’ai dit, savoir : que vous ne tarderez pas à rencontrer