Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 08.djvu/271

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Bembo s’était assis en prévenant qu’il était pressé.

Au bout d’une minute, on put ouïr un pas lourd, frappant à intervalles dignes et comptés les planches de l’escalier de l’office.

— Allons, waiter, allons ! cria M. Jédédiah Smith.

— Tonnerre du ciel ! — que diable, — répondit une voix honnête et vigoureusement timbrée, me voici, insupportable commère, ma chère dame Bloomberry… car il n’y a que mistress Bloomberry au monde, vingt mille misères ! pour venir, à cette heure indue, chercher sa pinte de soda-water.