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qu’elle humecte sa pauvre poitrine… Mais où diable est-elle ? ajouta-t-il en parcourant le parloir du regard.

Loo avait disparu.

— Par exemple, voilà qui n’est pas bien, reprit Snail d’un ton sentencieux ; — voyez-vous, Tom, mon ami, je n’aurais jamais cru cela de ma sœur Loo… Que diable ! il faut savoir un peu se conduire… Loo ! ma sœur Loo !

— Assez, Snail, dit l’Irlandais, je vous parlerai seul.

— Du tout, daddy, du tout ; il faut que Loo apprenne les bonnes façons… Elle est la sœur