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se passa entre le marquis et le chevalier, car leur entretien n’eut pas de témoins. La comtesse, qui était tombée demi-morte sur un sofa dans la chambre voisine, entendit seulement qu’ils conversaient à voix basse.

Le marquis ordonnait ; le chevalier semblait se défendre et prier.

Puis il se fit un silence, puis encore la marquise entendit le grincement de deux épées qui se croisent.

Au bout d’une demi-minute l’un des deux combattants tomba lourdement sur le tapis. La comtesse s’élança ; elle craignait pour M. de Rio-Santo.