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Celui-ci reprit :

— La comtesse passa une nuit inquiète et agitée.

Le lendemain, à dix heures, le marquis de Rio-Santa était chez elle.

Lady Ophelia ne m’a point raconté le détail de cette entrevue, madam. Tout ce que je sais, c’est que M. de Rio-Santo avait rapporté deux épées sous son carrick, et que la comtesse, vaincue par ses impérieuses prières, le laissa seul au salon, après avoir donné ordre d’y introduire M. de Weber lorsqu’il se présenterait.

Madam, nul ne peut savoir au juste ce qui