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Pour répondre, il fallait l’adresse du chevalier. La comtesse chercha la lettre qu’elle avait jetée, ouverte, sur le tapis d’un guéridon. La lettre avait disparu. M. le marquis de Rio-Santo, tout seul, avait pénétré dans son boudoir ce jour-là.

Le cœur de Mary battait par soubresauts irréguliers contre la poitrine de Frank. Il eut une vague frayeur et lâcha sa taille pour s’éloigner et la considérer mieux. Mary était bien pâle, voilà tout. Elle ne semblait point souffrir plus qu’à l’ordinaire.

Diana Stewart jouait une valse brillante, dont la discrète harmonie s’élevait comme une barrière entre son oreille et la confidence de Perceval.