Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 07.djvu/328

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

voir sourire… Dites-lui que vous avez peine à m’égaler en gaîté, tant je suis follement joyeuse…

Elle s’interrompit épuisée. — Diana, qui ne comprenait point, jeta un coup d’œil sur la lettre.

— Quoi ! Mary, s’écria-t-elle, avez-vous bien le courage de refuser ce pauvre Frank, blessé, souffrant ?…

— Souffre-t-il donc autant que moi ? répliqua miss Trevor dont la voix se brisait ; — dites-lui… vous vous souvenez, n’est-ce pas, Diana ?… dites-lui tout… Eh bien ! quand je serai morte, il saura que j’ai souffert… mais jusque-là qu’il me croie heureuse !