Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 07.djvu/326

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

wood-House, que la comtesse était encore tout émue.

— Je ne l’eusse pas fait ! murmura-t-elle en frissonnant ; — oh ! non, je n’aurais pas osé, mon Dieu !… Mais la pauvre enfant était si pâle et semblait tant souffrir !…

La lettre de Frank ne contenait que quelques lignes. Elle assignait, en termes respectueux, mais fermes et pressants, un rendez-vous à miss Trevor, chez son amie miss Diana Stewart, cousine de Frank Perceval.

Mary lut et demeura un instant comme absorbée.

— Pensez-vous qu’un homme puisse aimer