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fastidieux comme un duel à l’épée, si ce n’est un duel au pistolet.
— Nous pourrons nous battre au sabre, lui répondit l’ambassadeur.
— Fi donc !… Il y aurait bien la lance… Aimeriez-vous la lance, milord ?
— Qu’est-ce à dire, monsieur ? s’écria le prince qui crut qu’on se moquait de Sa Grâce.
— Je vous demande, milord, si la lance vous plairait ?… Mais non ! cela ressemblerait à ces innocents tournois que donnent certains lords écossais… Asseyez-vous donc, prince ! Nous chercherons ensemble un moyen de nous tuer le moins sottement possible.