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les toilettes environnantes. Dans ses longs cheveux blonds épars, il n’y avait ni perles ni diamants, ni fleurs. À ses blanches épaules ne se rattachait point le corsage plissé d’une robe de satin ou de velours. Elle était vêtue d’un peignoir de toile, garni d’une ruche de mousseline.

Il semblait qu’elle eût quitté sa couche à la hâte pour venir s’asseoir à la fête et présider l’orgie.

Je ne voyais point son visage. Elle me tournait le dos et appuyait paresseusement sa tête sur l’épaule de Son Honneur, qui élevait, de temps en temps un verre de cristal taillé jusqu’à sa lèvre. — Et cette femme buvait.