Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 07.djvu/159

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

ment la porte par où Saunie, et avant lui sans doute les gens qui enlevaient ma sœur, avaient disparu.

De l’endroit où j’étais encore, je ne pouvais voir d’où venait la lueur ; mais, en arrivant auprès de la porte, j’aperçus à une grande hauteur un trou qui me montra le ciel étoilé.

À mes côtés, les murs de la galerie cessaient. Je me trouvais dans une sorte de demi-rond-point dont les aboutissants s’éclairaient vaguement à la lueur qui descendait du trou. — C’étaient douze ou quinze galeries semblables à celle que je venais de quitter.

Aussi larges et sans doute aussi longues.