Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 07.djvu/150

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

viner que vous soupçonnez mon oncle Mac-Farlane : je n’ai nulle raison pour être de votre avis, car je respecte et j’aime le père de ma pauvre Clary. — Mais je ne le soutiendrais pas au pris d’un mensonge.

— Pardonnez-moi, Stephen, balbutia Perceval, honteux, mais trop loyal pour dissimuler après coup un involontaire mouvement de doute.

Stephen lui tendit la main.

— Je ne connais pas les souterrains dont vous parlez, poursuivit-il ; jamais je n’eus la moindre nouvelle de leur existence, et je crois pouvoir affirmer qu’ils sont ignorés dans le pays. — Mais, leur existence admise, — et je