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L’obscurité s’étendait de toutes parts comme un voile opaque autour de moi.

Mais, au moment où je remettais le pied sur la première marche de l’escalier, un mouvement irréfléchi me porta une dernière fois à me retourner pour essayer encore de percer le mur de ténèbres où j’étais emprisonné.

Je vis un spectacle étrange, à la réalité duquel ma raison se refusa de croire tout d’abord. Je fermai les yeux pour échapper à la fantastique apparition qui venait de frapper ma vue, et qui, pour être bizarre jusqu’à l’impossible, m’affermissait dans l’idée que ma pauvre tête se perdait.

Mais quand je rouvris les yeux, je vis en-