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freux dont je venais d’entendre la première scène se poursuivit près de moi.

Et mon oreille continua de saisir les sons avec une netteté singulière. Mais le sommeil de mon intelligence faussait les perceptions de mes organes éveillés.

J’entendis un bruit sourd dans la direction de la chambre d’Harriet, puis des cris étouffés, — des plaintes, — puis le silence se fit.

Toujours le rêve.

Nui bruit ne se faisait plus ouïr lorsque je fus éveillé en sursaut par un de ces chocs électriques qui viennent parfois secouer le sommeil. — On croit tomber en un précipice,