Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 07.djvu/11

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

reux, mon jeune monsieur, ajouta-t-il tout haut ; — j’aime les gens comme cela, moi… Mais pourquoi diable venez-vous me parler de sujets et de fadaise du même genre… Je suis un honnête marchand d’ale, de porter, de gin, whiskey, d’usquebaugh, de tout ce qui peut se boire, enfin… Mais des sujets, que diable ! je ne comprends rien à cela !… Encore une fois, que voulez-vous ?

Stephen, qui avait maintenant la liberté de ses mouvements, tira son portefeuille et remit sa carte au burkeur.

— Ah ! ah ! s’écria celui ci, vous êtes étourdi, pour un homme de la science, mon jeune gentleman. Du diable si vous n’avez pas risqué vos os… Vous finissez par où vous