Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 06.djvu/59

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

sagères amours, une mémoire bénie, un souvenir lointain, un amour pur.

Bien des fois, il avait mis cet amour cher encore sur les blessures qui atteignaient souvent son cœur parmi les hasards de sa vie aventureuse. C’était comme un baume souverain, comme un suprême remède.

Cette fois le remède agit encore. L’image évoquée parut et Rio-Santo sentit au dedans de soi une force calme…

Le laird, poursuivant sa victoire, venait de le renverser sur le tapis et pesait de tout son poids sur sa poitrine.

Rio-Santo, galvanisé un instant par ce sur-