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destement proclamée, à la nécessité de faire, sur ce sujet, riche assurément, en phrases rondes et sonores, une dissertation qui pourrait nous attirer, comme à l’un de nos confrères de France, les louanges intelligentes de quelque honorable recorder[1] (avocat-général), habitué aux fleurs abondantes et tant soit peu fanées de la rhétorique du Palais.

Le laird entonna d’une voix rauque et qui contrastait grandement avec la naïve bonne humeur des paroles, ce quatrième couplet :


Le lair de Killarwan
Par les bruyères,

  1. Il ne nous appartient pas de rendre plus évidente qu’elle ce l’est dans le texte, l’allusion faite ici par sir Francis Trolopp à un passage de certain réquisitoire.